Encore du poisson dans nos assiettes ?

Y aura-t-il encore du poisson dans nos assiettes ?

RendeY aura-t-il encore du poisson dans nos assiettes ? Au Centre de Découverte du Monde Marine

Les océans abritent des ressources alimentaires très importantes pour des millions de personnes dans le monde. Les stocks halieutiques diminuent d’une manière critique.
Plusieurs espèces subissent les conséquences de la surpêche. Capturées en surnombre, soit pour la consommation, soit accidentellement.
De plus, la pêche toujours plus intensive des poissons nuit aux écosystèmes et à la biodiversité.

Selon les spécialistes, la surpêche se pratique sur 90 % de la Méditerranée. Dans le Nord-Est de l’Atlantique, 40 % des espèces de poissons sont menacées.
Ces prochaines années, plus de 40 espèces de poissons (dont près de la moitié des espèces de requins et de raies) risquent de disparaître en Méditerranée.
Après le thon rouge, l’espadon est désormais soumis aux quotas depuis 2017.

Y aura-t-il encore du poisson dans nos assiettes ?

Q uel est l’avenir de la pêche en Méditerranée ?
Quel est le rôle de la commission européenne et de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature ?
Faut-il instaurer plus de quotas aux espèces surexploitées et réévaluer le moratoire sur le mérou et le corb ?
Une gestion responsable peut-elle permettre une exploitation durable de ces ressources ?
Le consommateur n’a t-il pas un rôle à jouer dans la préservation de la biodiversité ?

Le Centre de Découverte du Monde Marin organise une conférence sur ce sujet.

E lle aura lieu le vendredi 9 novembre à 20h00 au MAMAC à Nice. Plusieurs documentaires illustreront le débat.
Des intervenants répondront à toutes ces interrogations : Paolo Guidetti, Professeur des Universités, directeur du laboratoire ECOMERS à l’Université Nice Sophia-Antipolis. Jean-Michel Cottalorda, Biologiste marin au laboratoire ECOMERS. Denis Génovese Président du comité départemental 06 des pêches et élevages marins

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Sans réservation.
MAMAC, place Yves Klein, Nice. Téléphone 04 93 55 33 33

Le certificat médical (CACI)

Le certificat médical (CACI) en plongée sous-marine

La présentation du le certificat médical (CACI, sigle qui signifie : Certificat d’Absence de Contre-Indication)
est nécessaire à l’obtention d’une première licence par la  FFESSM, qui ouvre droit à la pratique d’une ou plusieurs disciplines sportives.
Ce certificat doit être daté de moins d’un an.

La plongée subaquatique fait partie des disciplines à contraintes particulières par l’environnement spécifique dans lequel elle se pratique.
Cela regroupe la plongée en scaphandre en tous lieux et la plongée libre (apnée) en milieu naturel et fosse de plus de 6 mètres.

Cet arrêté rappelle dans son premier paragraphe commun à toutes les disciplines que l’examen médical doit se faire par un médecin compétent.
Tout médecin peut délivrer le certificat médical plongée, mais il est préférable d’avoir recours à un médecin fédéral.
Attention,dans certains cas (trimix hypoxique, pratique Handisub au-delà du baptême, apnée en eau libre…), cela est même obligatoire.
Le médecin pratiquera un examen clinique, complété d’un interrogatoire complet et d’une évaluation cardio-vasculaire appropriée.
La plongée sous-marine sollicite particulièrement les sphère ORL et celles bucco-dentaires. Alors, ne lésinez pas sur les rendez-vous médicaux !

Attention !
La plongée professionnelle relève d’un autre cadre réglementaire, qui relève d’un certificat d’aptitude !

 

 
 
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Licence FFESSM à prix coûtant

La licence de plongée FFESSM à prix coûtant

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La licence de plongée FFESSM la moins chère !
Commandez dès maintenant votre licence 2017 / 2018.
Elle est disponible dès le 15 septembre et est valable jusqu’au 31 décembre 2018.

La souscription d’une licence FFESSM nécessite un certificat médical.
N’importe quel médecin inscrit à l’ordre peut délivrer ce certificat médical.
Néanmoins la FFESSM conseille aux membres et licenciés de privilégier, chaque fois que possible, le recours à un médecin fédéral et ce, même dans les cas où le certificat de non contre-indication peut-être délivré par tout médecin.

Écrivez votre nom, prénom, date de naissance et adresse postale, à l’adresse suivante plongerdubord@gmail.com.
La licence FFESSM à prix coutant, par chèque à l’ordre de l’association LITTLE NEMO.
TARIF de la Licence 2017/2018 SAISON 18:
“ ADULTE ” (à partir de 16 ans) 39,70 € €
“ JEUNE ” (de 12 à 16 ans) 25.10 €
“ ENFANT ” (Moins de 12 ans) 11,15 € €
Votre licence FFESSM créée sous 24H ouvrés.
Une attestation provisoire de licence vous sera immédiatement disponible après la création de celle-ci.
Il faudra compter environ 15 jours pour recevoir par voie postale la licence « format carte bancaire ».

A quoi sert cette licence ?

Nécessaire à qui veut passer les brevets de plongeur, elle est reconnue à l’international par l’intermédiaire de la Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques.
Elle permet de participer aux formations proposées dans les clubs, par les diverses commissions d’activités et organes déconcentrés de la Fédération.
Découvrez les multiples disciplines subaquatiques : 14 commissions d’activités.
Plongée bouteille (scaphandre à l’air et aux mélanges), Randonnée subaquatique, Environnement et biologie subaquatique, Photo et vidéo subaquatiques, Archéologie subaquatique, Plongée souterraine, Apnée, Hockey subaquatique, Nage en eau vive, Orientation subaquatique, Pêche sous-marine, Tir sur cible, Nage avec palmes, Médicale et Juridique.

Est-ce que cette licence me couvre en cas de pratique de la pêche sous-marine ?

Oui, la licence fédérale comporte cette assurance. Elle correspond à l’ancien permis de pêche.
Toutefois, la pratique de la pêche sous-marine nécessite d’avoir 16 ans au moins. D’être titulaire d’une assurance responsabilité civile et de respecter la réglementation en vigueur.
 La FFESSM considère la pèche sous-marine comme une activité sportive de loisir en mer.
Elle précise que cette discipline est non compétitive, et se pratique en apnée. Qu’elle consiste à essayer de capturer des poissons et des crustacés à la main ou à l’aide d’une arbalète chargée à la force manuelle du pêcheur. Elle ajoute que c’est le mode de pêche le plus sélectif qui soit et par voie de conséquence, le plus respectueux de notre environnement. Les prélèvements sont exclusivement réalisés sur des espèces autorisées et adultes. Les prises sont réservées à la consommation personnelle. La Fédération a participé à l’établissement de la Charte du pêcheur de loisir éco responsable, signée par le Ministère de la pêche et agriculture et par le Ministère du Développement Durable.

Méduse œuf au plat

la méduse œuf au plat

Sur la Vie de ma mer

Plonger du bord et tomber nez à nez avec une Méduse œuf au plat est une expérience unique.
Cette semaine, au cours d’une plongée solo, j’ai eu l’occasion de rencontrer l’une d’entre elles.
Elle dérivait à très faible profondeur et se laissait porter en surface par les courants.
N’ayez pas peur ! Elle est très peu urticante.

Ce cnidaire doit son nom à sa forme et ses couleurs ressemblant à un œuf cuit au plat !
Cette Méduse œuf au plat vit en symbiose avec une algue microscopique que l’on voit sous la forme de tâches bleues ou violettes, située à l’extrémité de ses tentacules.
La méduse ne dépend pas de l’algue, mais parfois celle-ci lui procure des apports en nourriture et elle reçoit en échange une protection propice à son épanouissement.

Endémique de la mer méditerranée, la méduse abrite souvent des petits poissons, des alevins de bogue, qui se servent de son ombrelle comme d’un refuge et se cachent entre ses tentacules. Comme son espérance de vie est de 6 mois, sa croissance est prodigieuse, elle court sur quelques semaines.

 

La plongée sous-marine autrement et sans bateau, plonger du bord et l’aventure est au bout de la rue…