DES ENGAGEMENTS CONCRETS POUR UN OCÉAN DURABLE

Protéger les récifs coralliens du changement climatique

DES ENGAGEMENTS CONCRETS POUR UN OCÉAN DURABLE à commencer par transformer notre économie pour juguler la pollution plastique. La lutte contre les déchets plastiques est sur le devant de la scène politique et médiatique, comme rarement un sujet marin l’a été. Les macrodéchets visibles, qui ont conduit les navigateurs à donner l’alerte en parlant de « continents de plastique » ne sont que la partie visible de l’iceberg. Aucune mer, aucune région, même la plus isolée, n’échappe à cette pollution qui se diffuse au fil des courant, et dont une grande partie est trop petite (les microplastiques) ou trop profonde (des déchets ont été trouvés au fond des fosses abyssales) pour être vue. Aux côtés de ses partenaires Surfrider Europe Foundation, la Fondation Tara Expéditions, la Fondation MAVA et l’IUCN, la Fondation Prince Albert II de Monaco a annoncé, lors de la séance plénière dédiée à la pollution marine, leur intention d’investir, en 2019, 500 000 euros dans le développement de l’initiative Beyond Plastic Med – BeMed, soutenant des projets concrets visant à réduire la pollution plastique en Méditerranée. Depuis sa création en 2015, BeMed a déjà soutenu 23 projets dans 11 pays du pourtour Méditerranéen. L’appel à micro-initiatives 2018 est actuellement en cours jusqu’au 5 janvier 2019.

A Bali, le Commissaire européen à l’environnement, M. Karmenu Vella, a annoncé la création d’une coalition mondiale d’aquariums pour lutter contre la pollution par les plastiques. En 2017, le Musée océanographique de Monaco était l’un des premiers aquariums à rejoindre la campagne. Depuis, la Commission Européenne rejointe par l’ONU Environnement a permis au mouvement de s’amplifier, avec plus de 160 aquariums qui se sont engagés à sensibiliser leurs publics. Le Musée océanographique poursuit son rôle de mobilisation et de coordination du réseau.

Au-delà du plastique à usage unique, c’est notre mode de production gourmand en ressources et en énergie, générateur de déchets, qui doit être repensé. Dame Ellen MacArthur, l’une des principales porte-paroles de l’économie circulaire, a dévoilé « l’Engagement Mondial de la Nouvelle Économie des Plastiques », lancé par sa fondation. La Fondation Prince Albert II de Monaco et l’Institut océanographique partagent la vision de l’économie circulaire et ont rejoint cette initiative. Dame Ellen MacArthur avait d’ailleurs reçu, le 12 octobre dernier, la Grande Médaille Albert Ier de l’Institut océanographique pour son action de transformation de l’économie.

Protéger les récifs coralliens du changement climatique c’est ce que la Fondation Prince Albert II de Monaco a annoncé, lors de la plénière dédiée aux changements climatiques, les soutiens financiers engagés afin de poursuivre des actions de conservation de la mer mais également d’encourager les études et la recherche pour l’amélioration d’une gestion durable de l’Océan : en 2018, la Fondation a ainsi investi 4,5 millions d’euros et déjà mobilisé 3,5 millions d’euros pour 2019. Souligné par le récent rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, la préservation des récifs coralliens nécessite une action urgente afin d’éviter leur extinction d’ici le milieu du siècle. L’Initiative Internationale pour les Récifs Coralliens (International Coral Reef Initiative – ICRI), dont Monaco assure la co-présidence aux côtés de l’Australie et de l’Indonésie jusqu’en 2020, a organisé un événement de haut niveau sur l’avenir des récifs coralliens dans une perspective d’économie durable, auquel ont participé S.A.S. le Prince Souverain, S.E. M. Tommy E. Remengesau, Jr. Président de la République du Palau, M. Erik Solheim, Directeur Exécutif de l’ONU Environnement ainsi que la délégation Monégasque. S.E. M. Bernard Fautrier, Co-Président de l’ICRI pour Monaco, a rappelé l’engagement historique de la Principauté en faveur de la protection des mers, apportant un soutien constant à la recherche, notamment grâce aux travaux du Centre Scientifique de Monaco mais également au travers des différents projets soutenus par la Fondation. L’ambition portée par la co-présidence monégasque durant son mandat s’inscrit dans cette lignée et s’appuie sur deux axes forts : encourager, d’une part, l’adhésion de nouveaux pays au sein de l’ICRI mais également l’adoption d’un plan d’action réaliste, efficace et inspirant.

S.A.S. le Prince Souverain a invité, en clôture de ce side-event, les pays qui ne l’auraient pas déjà fait, à s’engager en signant à leur tour la « Déclaration pour la sauvegarde des récifs coralliens » qu’Il a portée aux côtés de S.A.R. le Prince de Galles lors de l’édition Our Ocean 2017 à Malte. Ainsi, la Nouvelle Calédonie, représentée par le Président du Gouvernement, M. Philippe Germain, a rejoint la liste des signataires de la déclaration, ainsi que la République du Vanuatu. S.A.S. le Prince Albert II de Monaco s’est ensuite félicité de l’initiative prise par Sa Fondation et le groupe Vulcan s’engageant mutuellement à investir 250 000 US dollars dans un Fond global pour les récifs coralliens dédié à leur préservation, conservation et adaptation face au changement climatique.

Renforcer la résilience de l’Océan par les Aires Marines Protégées
S.A.S. le Prince Albert II et la délégation de Monaco ont soutenu, tout au long de la conférence, la création d’Aires Marines Protégées (AMP) effectives et bien gérées à travers le monde. Ils ont notamment échangé avec Mme Donna Bertarelli au sujet de l’initiative Pew Bertarelli Global Ocean Legacy visant la création de très grandes AMP à haut niveau de protection. S.A.S. le Prince Albert II a exprimé son soutien au Président de Nouvelle Calédonie M. Philippe Germain pour une protection ambitieuse de la Mer de Corail. Cette immense AMP de 1,3 millions de km² couvre notamment le tiers des récifs coralliens les mieux préservés de la planète. Lors de la conférence, M. Philippe Germain s’est engagé à placer sous protection élevée 200.000 à 400.000 kilomètres carrés supplémentaires du Parc Naturel de la Mer de Corail d’ici 2019.

Encore du poisson dans nos assiettes ?

Y aura-t-il encore du poisson dans nos assiettes ?

RendeY aura-t-il encore du poisson dans nos assiettes ? Au Centre de Découverte du Monde Marine

Les océans abritent des ressources alimentaires très importantes pour des millions de personnes dans le monde. Les stocks halieutiques diminuent d’une manière critique.
Plusieurs espèces subissent les conséquences de la surpêche. Capturées en surnombre, soit pour la consommation, soit accidentellement.
De plus, la pêche toujours plus intensive des poissons nuit aux écosystèmes et à la biodiversité.

Selon les spécialistes, la surpêche se pratique sur 90 % de la Méditerranée. Dans le Nord-Est de l’Atlantique, 40 % des espèces de poissons sont menacées.
Ces prochaines années, plus de 40 espèces de poissons (dont près de la moitié des espèces de requins et de raies) risquent de disparaître en Méditerranée.
Après le thon rouge, l’espadon est désormais soumis aux quotas depuis 2017.

Y aura-t-il encore du poisson dans nos assiettes ?

Q uel est l’avenir de la pêche en Méditerranée ?
Quel est le rôle de la commission européenne et de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature ?
Faut-il instaurer plus de quotas aux espèces surexploitées et réévaluer le moratoire sur le mérou et le corb ?
Une gestion responsable peut-elle permettre une exploitation durable de ces ressources ?
Le consommateur n’a t-il pas un rôle à jouer dans la préservation de la biodiversité ?

Le Centre de Découverte du Monde Marin organise une conférence sur ce sujet.

E lle aura lieu le vendredi 9 novembre à 20h00 au MAMAC à Nice. Plusieurs documentaires illustreront le débat.
Des intervenants répondront à toutes ces interrogations : Paolo Guidetti, Professeur des Universités, directeur du laboratoire ECOMERS à l’Université Nice Sophia-Antipolis. Jean-Michel Cottalorda, Biologiste marin au laboratoire ECOMERS. Denis Génovese Président du comité départemental 06 des pêches et élevages marins

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Sans réservation.
MAMAC, place Yves Klein, Nice. Téléphone 04 93 55 33 33

Le certificat médical (CACI)

Le certificat médical (CACI) en plongée sous-marine

La présentation du le certificat médical (CACI, sigle qui signifie : Certificat d’Absence de Contre-Indication)
est nécessaire à l’obtention d’une première licence par la  FFESSM, qui ouvre droit à la pratique d’une ou plusieurs disciplines sportives.
Ce certificat doit être daté de moins d’un an.

La plongée subaquatique fait partie des disciplines à contraintes particulières par l’environnement spécifique dans lequel elle se pratique.
Cela regroupe la plongée en scaphandre en tous lieux et la plongée libre (apnée) en milieu naturel et fosse de plus de 6 mètres.

Cet arrêté rappelle dans son premier paragraphe commun à toutes les disciplines que l’examen médical doit se faire par un médecin compétent.
Tout médecin peut délivrer le certificat médical plongée, mais il est préférable d’avoir recours à un médecin fédéral.
Attention,dans certains cas (trimix hypoxique, pratique Handisub au-delà du baptême, apnée en eau libre…), cela est même obligatoire.
Le médecin pratiquera un examen clinique, complété d’un interrogatoire complet et d’une évaluation cardio-vasculaire appropriée.
La plongée sous-marine sollicite particulièrement les sphère ORL et celles bucco-dentaires. Alors, ne lésinez pas sur les rendez-vous médicaux !

Attention !
La plongée professionnelle relève d’un autre cadre réglementaire, qui relève d’un certificat d’aptitude !

 

 
 
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Licence FFESSM à prix coûtant

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La licence de plongée FFESSM la moins chère !
Commandez dès maintenant votre licence 2017 / 2018.
Elle est disponible dès le 15 septembre et est valable jusqu’au 31 décembre 2018.

La souscription d’une licence FFESSM nécessite un certificat médical.
N’importe quel médecin inscrit à l’ordre peut délivrer ce certificat médical.
Néanmoins la FFESSM conseille aux membres et licenciés de privilégier, chaque fois que possible, le recours à un médecin fédéral et ce, même dans les cas où le certificat de non contre-indication peut-être délivré par tout médecin.

Écrivez votre nom, prénom, date de naissance et adresse postale, à l’adresse suivante plongerdubord@gmail.com.
La licence FFESSM à prix coutant, par chèque à l’ordre de l’association LITTLE NEMO.
TARIF de la Licence 2017/2018 SAISON 18:
“ ADULTE ” (à partir de 16 ans) 39,70 € €
“ JEUNE ” (de 12 à 16 ans) 25.10 €
“ ENFANT ” (Moins de 12 ans) 11,15 € €
Votre licence FFESSM créée sous 24H ouvrés.
Une attestation provisoire de licence vous sera immédiatement disponible après la création de celle-ci.
Il faudra compter environ 15 jours pour recevoir par voie postale la licence « format carte bancaire ».

A quoi sert cette licence ?

Nécessaire à qui veut passer les brevets de plongeur, elle est reconnue à l’international par l’intermédiaire de la Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques.
Elle permet de participer aux formations proposées dans les clubs, par les diverses commissions d’activités et organes déconcentrés de la Fédération.
Découvrez les multiples disciplines subaquatiques : 14 commissions d’activités.
Plongée bouteille (scaphandre à l’air et aux mélanges), Randonnée subaquatique, Environnement et biologie subaquatique, Photo et vidéo subaquatiques, Archéologie subaquatique, Plongée souterraine, Apnée, Hockey subaquatique, Nage en eau vive, Orientation subaquatique, Pêche sous-marine, Tir sur cible, Nage avec palmes, Médicale et Juridique.

Est-ce que cette licence me couvre en cas de pratique de la pêche sous-marine ?

Oui, la licence fédérale comporte cette assurance. Elle correspond à l’ancien permis de pêche.
Toutefois, la pratique de la pêche sous-marine nécessite d’avoir 16 ans au moins. D’être titulaire d’une assurance responsabilité civile et de respecter la réglementation en vigueur.
 La FFESSM considère la pèche sous-marine comme une activité sportive de loisir en mer.
Elle précise que cette discipline est non compétitive, et se pratique en apnée. Qu’elle consiste à essayer de capturer des poissons et des crustacés à la main ou à l’aide d’une arbalète chargée à la force manuelle du pêcheur. Elle ajoute que c’est le mode de pêche le plus sélectif qui soit et par voie de conséquence, le plus respectueux de notre environnement. Les prélèvements sont exclusivement réalisés sur des espèces autorisées et adultes. Les prises sont réservées à la consommation personnelle. La Fédération a participé à l’établissement de la Charte du pêcheur de loisir éco responsable, signée par le Ministère de la pêche et agriculture et par le Ministère du Développement Durable.