Articles for avril 2020

plonger du bord en kayak

plonger du bord en kayak

Plonger du bord en kayak

Pas besoin de partir au bout du monde, l’aventure est au bout de la rue !

Vas besoin de partir au bout du monde, l’aventure est au bout de la rue ! Plonger du bord en kayak. Gonflez le kayak, posez une ancre cigale et votre bloc équipé a l’avant, posez vos palmes et votre appareil photo dessus, un bidon étanche et une glacière à l’arrière , enfilez le bas de votre combinaison et pagayez pour rejoindre le spot de plongée. N’oubliez pas de signaler votre embarcation avec une bouée surmontée du pavillon alpha et bien sur l’oxy, premiers secours, les bottillons, les gants, l’ordinateur, masques tuba, boissons fraiches énergisantes, pique-nique, téléphone, casquette, crème solaire et cætera… GO ! Retrouvez la totalité du mode d’emploi dans le guide Plonger du bord. Pour remonter sur le kayak, il faut se déséquiper dans l’eau, amarrer le bloc (dont les plombs sont à l’intérieur de son gilet stabilisateur) à un bout. Poser les mains sur le boudin comme pour remonter sur un zodiac. Donner un coup de palme de sustentation et basculer à l’intérieur. Quitter ses palmes. Se mettre à genoux. Retirer le lestage, puis hisser son bloc. On peut même le laisser flotter dans l’eau et le tracter avec le kayak, mais tu vas moins vite   Mais ça marche ! #plongerdubord #liberté #littoral #mediterranee #plongeesousmarine #snorkeling #kayak

Plongez! numero 25

Plongez! numéro 25

Cet été plongez en France

Vos photos dans le magazine PLONGEZ !

A la vue de la situation inédite actuelle de l’épidémie de coronavirus qui nous empêche de voyager, cet été, nous irons plonger en France ! Dans un portfolio spécial du magazine PLONGEZ! ce sont vos photos, à vous plongeurs-photographes, qui seront mises à l’honneur.
Les clichés qui ne seront pas publiés dans le magazine seront partagés pendant tout l’été sur nos réseaux sociaux et le site internet du magazine.
Pour participer : sélectionnez vos trois plus belles images mettant à l’honneur des plongées réalisées à l’intérieur des terres (carrières, lacs, rivières) et sur nos côtes, de la Normandie à la Côte d’Azur, de la Bretagne à l’Occitane, de la Corse à la Nouvelle-Aquitaine.
vous devez obligatoirement être l’auteur de ces images, accepter leur parution dans le magazine et indiquer dans le nom du fichier votre nom, le lieu de prise de vue et l’espèce/l’épave présente sur la photo.

Envoyez-les AVANT LE 20 MAI À MINUIT en haute définition (maxi 10 Mo par fichier) PAR MAIL à l’adresse redaction@plongez.fr (vous pouvez passer par WeTransfer ou GrosFichiers) avec des petites légendes pour chaque photo, les raisons pour lesquelles vous les avez sélectionnées…
Tous les participants dont les photos seront soit publiées dans le portfolio du n°28, soit diffusées sur les réseaux sociaux et/ou le site web du magazine, recevront un abonnement d’un an à la version numérique du magazine (ils recevront un code à la parution du n°28 leur donnant accès gratuitement à 6 numéros, du n°28 au n°33). Les photos retenues pour le portfolio du n°28 seront, en plus, rémunérées aux conditions habituelles du magazine.
#ceteteplongezenfrance

La Chanson du plongeur

Je rêvais d’un hymne aux plongeurs sous-marins et sur la plongée sous-marine. J’ai écrit un texte que mon complice Stéphane Cochini a bonifié d’une mélodie. Il a aussi composé une musique sur laquelle il chante. Un autre complice Fred Albertini a fait les arrangements électrosoums. Aujourd’hui, j’ai envie de la partager avec vous.
Voici les paroles, si vous voulez chanter sous la mer ! Cogito ergo Soum !

Réveilles toi, au fond des eaux, et vois comme la Calypso
Rejoints la vie, fais le grand saut, et vis le rêve de Falco

Je plonge donc je suis,

C‘est un véritable coup de cœur que je vous propose de découvrir en regardant ce trailer de Florian Launette.
En 2014, il s’engage dans un nouveau grand projet intitulé “Faune sauvage ou faune spectacle – la nature de l’homme”.
Une réflexion sur les relations complexes qu’entretient l’homme avec sa nature.

Selon ses propres mots :

“On découvre aujourd’hui qu’on appartient à la nature nous, êtres humains, et que si on élimine une espèce, on diminue notre espérance de vie puisqu’on partage avec eux le monde de la nature. Si on élimine une espèce, on diminue notre espérance de vie puisqu’on partage avec eux le monde de la nature. Dès l’instant où on cesse de considérer ces « machins » comme des « machines », on ne peut plus leur donner des coups de pied, on ne peut plus les disséquer vivant… C’était des “machines”, ce n’était pas grave. Donc, nous, ça nous oblige à l’empathie. C’est-à-dire à se décentrer de soi pour visiter le monde d’un autre, pour se représenter le monde d’un autre.”

Son histoire :

Florian Launette est non seulement un photographe reporter extraordinaire, mais aussi réalisateur et photographe sous-marin.
Il a débuté sa carrière aux Etats-Unis, à Washington, où il apprend la photographie auprès de son ami, Matthew Barrick.

En 1992, il photographie dans la capitale américaine les ravages de la drogue chez les sans-abri. Son travail remarquable sera publié dans le Capitol Spotlight et le Washington New Observer. Il fera également l’objet d’une exposition nationale grâce au soutien de la National Coalition for the Homeless. De retour en France, il devient correspondant permanent à Marseille pour l’agence américaine Associated Press. Puis, il devient photo-reporter au “Provençal”, devenue “La Provence”. Dans ce journal, il couvre le conflit du Kosovo, les inondations d’Alger, les attentats de Madrid ou encore les funérailles du Pape Jean-Paul II…
Il publie quatre livres, dont un sur Marseille. Il réalise deux documentaires, l’un sur la Camargue et l’autre sur le mythique Cap Horn.

Ses récompenses :

En 2002, il décroche le prix Sosno, dans la catégorie « actualité », pour son reportage sur les urgences de La Conception à Marseille.

En décembre 2007, il reçoit le prix du Club de la Presse Méditerranée pour ces photographies « J’ai un cancer du sein. Et après ». Ce sont des portraits de femmes hors du commun. Ces photographies ont notamment été exposés dans les rues de Marseille, sur la façade du ministère de la Santé à Paris ainsi que sur les murs du Parlement Européen, à Bruxelles.

En 2010, il termine premier et troisième prix du Crédit Lyonnais – catégorie sport – pour ses images de la boxeuse Myriam Lamare et du nageur Alain Bernard.

En 2012, il se lance dans la réalisation du projet multimédia “Découvre Ta Nature” (50 km autour de Marseille). A ce jour, près de 6 000 livres de Découvre Ta Nature ont été distribués gratuitement aux enfants de la région Marseillaise.